Tel : 06.64.10.03.33 - Mail : tchernoblaye.adn33@free.fr - Membre du Collectif Arrêt du nucléaire - Adhésion
Chaine Youtube de Tchernoblaye
26 et 27 avril 2024 - Bordeaux
Faut-il
construire de
nouveaux
réacteurs
nucléaires en
France ?
Vendredi 26
avril 2024 19h
- Bordeaux Athénée municipal Place St-Christoly Conférence Débat avec Stéphane
Lhomme Directeur de l'Observatoire du nucléaire - Entrée
libre |
Samedi 27
avril 2024 15h
- Bordeaux Départ : Maison écocitoyenne Quai Richelieu (Pont de
Pierre) Manifestation antinucléaire 38 ans après le début de la catastrophe nucléaire
de Tchernobyl
(26 avril 1986) |
Tchernoblaye/Arrêt du
Nucléaire 33 organise
Samedi 16 mars 2024 à partir de 15h
Rassemblement antinucléaire
au Miroir
d'eau sur les quais de Bordeaux
en face de la place de la Bourse
-
Pour rappeler la catastrophe nucléaire de Fukushima (débutée le 11 mars 2011)
-
Contre les projets de nouveaux réacteurs à la centrale nucléaire du Blayais
(33)
-
Pour l'arrêt du nucléaire.
Venez nous
rejoindre si vous êtes dans le coin!
Actions contre le nucléaire
dans toute la France :
Dimanche 22 octobre 2023
- En Gironde : Rassemblement devant
la centrale du Blayais à
partir de 11h
(covoiturage à 10h devant la Poste du Grand-Parc, Bordeaux)
- pique-nique partagé (amenez des victuailles !)
- prises de parole
- déambulation vers la digue de la centrale et explications
Action menée dans le cadre de la Coordination antinucléaire de la Gironde
- Non à de nouveaux réacteurs
nucléaires "EPR2" au Blayais
- Oui à la fermeture définitive
de la centrale du Blayais
- Oui à la sobriété et aux
énergies renouvelables
Juillet
- Août 2021
L'exposition pronucléaire d'EDF à
Blaye a été grandement améliorée
!
Fukushima + 10 ans : Agissons
en Gironde les 11 et 13 mars 2021
1) Jeudi 11 mars 2021 à 11h
Présence devant la centrale du Blayais
Le jour "anniversaire" du
début de la catastrophe de Fukushima : Tchernoblaye
invite toutes les personnes disponibles à une présence devant la centrale
nucléaire du Blayais pour dénoncer le risque permanent. Covoiturage depuis Bordeaux : rendez-vous à 9h45 devant la
Poste du Grand-Parc. Pour mémoire, lors de la tempête de décembre
1999, la centrale du Blayais a été gravement inondée et a frôlé le scénario qui
s'est produit… 10 ans plus tard à Fukushima. Faut-il attendre les bras croisés
que le Blayais rejoigne Tchernobyl et Fukushima ?
2) Samedi 13 mars
2021 - 15h - Bordeaux
(quai Richelieu, en face de la Porte Cailhau)
Rendez-vous à partir de 14h30 pour la mise en
place
Grande chaîne humaine antinucléaire
Protocole sanitaire : les participants ne se donneront pas
la main
mais seront reliés par des tissus portant des logos antinucléaires
Comme dans de nombreuses villes en
France et dans le monde, une initiative a lieu ce samedi 13 mars 2021, 10 ans
après le début de la catastrophe de Fukushima (11 mars 2011), pour rappeler
que, loin d'être terminé, ce désastre ne cesse de s'aggraver. Plus de 100 000
personnes évacuées sont toujours réfugiées…et stigmatisées. Et l'opérateur Tepco manœuvre pour déverser dans le Pacifique plus d'un
million de tonnes d'eau terriblement radioactive…
Une seule solution : arrêter
le nucléaire !
En 50 ans de nucléaire, la France a
frôlé à plusieurs reprises la catastrophe (par exemple : Saint-Laurent-les-Eaux
1969 et 1980, Blayais 1999). Pour échapper au pire, alors que les réacteurs
sont de plus en plus délabrés, une seule solution : arrêter
le nucléaire… vite !
Commémoration
Tchernobyl - vendredi 26 avril 2020 à 18h
Rassemblement devant le Grand théâtre à Bordeaux
Nous
vous invitons à participer à la commémoration de la catastrophe de
Tchernobyl.
Cette
catastrophe n'est pas seulement un "mauvais souvenir". Des millions
de personnes, en particulier des enfants, en subissent toujours les
conséquences sur leur santé. Des millions d'autres vivent en zones contaminées
et consomment les produits de leur jardin, faute d'autre endroit pour vivre.
Des produits contaminés, dont du bois de chauffage, circulent partout en
Europe.
Nous
nous retrouverons donc le vendredi 26 avril à 18h au Grand théâtre à
Bordeaux. Nous évoquerons en particulier les liquidateurs, avec leurs
silhouettes et leurs photos. Nous serons habillés en blanc.
Mars
2019
Initiatives autour de la date de
début de Fukushima (11 mars) :
Samedi
9 mars 2019 - midi
Exposition « Le nucléaire ne sauvera
pas le climat »
Vernissage au Jardin d’Étienne 12bis rue J
de Malet à Bordeaux
Dimanche
10 mars 2019 - 15
Commémoration
de Fukushima : Cercle de silence
au miroir des quais de
Bordeaux
Lundi
18 mars 2019 - 20h00
Soirée
film-débat au cinéma Utopia de Bordeaux
"Un
héritage empoisonné"
Avec des militants venus de Bure (Meuse)
Invitation - 9 et 10 octobre 2018 - Marché des douves
(Bordeaux)
Tchernoblaye participe à la Fête de la
science
Conférence le mardi 9 octobre 2018, 19h :
L'énergie nucléaire peut-elle être une
réponse au changement climatique ?
Avec
Simon Charbonneau (Pr de droit de
l'environnement et de la
gestion des risques majeurs / maître de conférence honoraire)
et Stéphane Lhomme (Directeur de
l'Observatoire du nucléaire)
Ateliers mercredi 10 octobre 2018, 16h/19h
-
Atelier Mesure
de la radioactivité, avec Cyril
Giraud. S'inscrire au 06 33 15 43 90
-
World café "Quelles énergies pour un avenir durable", avec
l'association Colibris
Communiqué du jeudi 30 août 2018
Tchernoblaye dénonce
une rentrée radioactive pour
les élèves et enseignants de l'académie de Bordeaux
Le recteur et Edf ont profité de l'été pour signer un
accord "radioactif" (*)
avec des stages pour les enseignants à la centrale nucléaire du Blayais !
Le recteur d'Académie livre élèves et enseignants
à la propagande nucléaire d'EDF
L'association Tchernoblaye dénonce avec force les méthodes du recteur de
l'académie de Bordeaux et d'EDF qui ont signé au cœur de l'été (c'est-à-dire
quand la vigilance des parents et enseignants est logiquement relâchée) un
injustifiable accord qui vise à instiller auprès des élèves et enseignants une
insidieuse propagande pronucléaire.
Le programme, copieux,
comprend carrément l'organisation de stages d'une semaine pour les enseignants
à la centrale nucléaire du Blayais ! Tchernoblaye
connait et dénonce par avance les "justifications" qui seront
avancées : il ne sera pas seulement question du nucléaire mais aussi des autres
formes d'énergie dont les énergies renouvelables. Mais c'est précisément là où
se niche la perfidie d'EDF (avec la complicité du recteur) : il s'agit de
présenter le nucléaire comme une banale énergie parmi d'autres, ce qu'elle
n'est pas en réalité.
Tchernoblaye rappelle qu'EDF n'est hélas plus un service public
mais une société anonyme qui participe au marché de l'énergie parmi divers
concurrents : rien ne justifie que l'Education nationale livre les élèves à la
propagande de cette entreprise commerciale et embrigade même les enseignants au
cours de stages d'une semaine à la centrale nucléaire du Blayais !
Le rectorat répondra
probablement que les enseignants sont assez grands pour se faire une opinion, mais
c'est faux car les citoyens, enseignants ou non, n'ont généralement pas les
éléments pour décrypter les méthodes habiles et insidieuse des communicants
d'Edf.
Tchernoblaye appelle les parents et leurs associations, les enseignants et leurs syndicats, à dénoncer la façon dont Edf, avec la collaboration du recteur, entend manipuler les petits cerveaux en formation.
Le samedi 11 mars 2018 à 15h
au miroir des quais (Bordeaux)
Rassemblement antinucléaire
Le 11 mars 2011
commençait la catastrophe de Fukushima. Aujourd'hui
rien n'est résolu :
- les réacteurs en fusion sont toujours arrosés pour éviter un redémarrage de
la réaction nucléaire ;
- des quantités astronomiques d'eau contaminée sont rejetés dans l’océan,
contaminant la chaine alimentaire ;
- le gouvernement supprime les indemnités aux déplacés pour les contraindre à
revenir en zones contaminées ;
N'oublions pas qu'une catastrophe similaire a
été évitée de justesse à la centrale du Blayais en décembre 1999, et que ce
risque est de plus en plus important du fait du délabrement avancé des
réacteurs français.
Alors, à Bordeaux comme un peu partout dans
le monde, agissons :
Pour ne pas laisser le silence recouvrir
Fukushima ;
Pour réclamer la fermeture des centrales nucléaires en France et dans le monde ;
Pour exiger la fermeture immédiate de la centrale du Blayais
Dans le cadre de la Fêtes de la science
L'association Tchernoblaye organise au Marché des Douves, 4 rue des Douves à Bordeaux
Le mardi 10 octobre 2017 de 19h
à 21h
Conférenciers : Jean Paul Bourdineaud / Olivier Cazaux.
L'industrie nucléaire emprunte à
la terre, en extrayant l'uranium, et souhaite faire retourner à la terre les
déchets qu'elle génère, au sein de sites d'enfouissement. Ce système, largement
validé par la communauté scientifique française à partir des années 1950,
est-il un mode de production d'énergie durable ?
Quels dangers fait-il courir aux populations, en France et dans le monde ?
Quel coût financier pour les sociétés d'aujourd'hui et quelle dette pour les
générations futures ?
Ce qui a pu sembler une magnifique innovation
scientifique et technologique est-il aujourd'hui obsolète ?
Ouvert à tous et gratuit
Salle des étoiles 2ème étage
10 décembre 2016 – Au Conseil départemental de la Gironde
Tchernoblaye demande la fermeture
immédiate des réacteurs du Blayais
contenant des pièces défectueuses
Article
de SUD-OUEST
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Communiqué
de Tchernoblaye :
Centrales
nucléaires : scandale des pièces défaillantes
couvertes par des certificats de "sûreté" falsifiés
L’industrie nucléaire est au cœur
d’un des plus graves scandales industriels de tous les temps mais, étrangement,
ni les dirigeants politiques ni les « grands » médias ne semblent s’en émouvoir
: aujourd’hui comme hier, le lobby nucléaire impose la désinformation des
citoyens.
Pourtant, l’affaire est stupéfiante
: des milliers de pièces pour centrales nucléaires ont été mal réalisées dans
les forges d’AREVA au Creusot et ont été couvertes par des certificats de sûreté
falsifiés, et ce depuis 1965 !
Que dire de l’Autorité de sûreté
nucléaire, présentée comme la plus compétente et la plus stricte du monde ?
Soit elle n’a rien vu pendant toutes ces années, soit elle n’a rien dit ! Quant
aux Commission locales d’information (CLI ou CLIN), elles continuent comme si
de rien n’était à jouer le rôle qui leur est assigné : faire croire à la
population que l’industrie nucléaire est « sous surveillance citoyenne ».
C’est pour tenter de rompre ce
train-train lénifiant que l’association Tchernoblaye
organise un rassemblement vendredi 9 décembre 2016 à 9h00 devant le Conseil
départemental de la Gironde à l’occasion de la réunion de la CLIN du Blayais.
A cet effet, Tchernoblaye
diffuse la liste des pièces défaillantes ou non-conforme concernant trois
des quatre réacteurs du Blayais, tout en rappelant qu’il ne s’agit là que
des informations qu’EDF et AREVA ont bien voulu reconnaître. La réalité est
probablement pire : comment faire confiance à ces entreprises qui trichent et
mentent depuis des décennies ?
Faut-il attendre un Fukushima en
France, et en l'occurrence au Blayais, pour prendre les décisions qui
s’imposent ? Les réacteurs nucléaires français sont dans un état de délabrement
avancé et doivent être fermés au plus vite, et immédiatement pour ceux qui
contiennent des pièces déficientes et/ou ont dépassé 30 ans d’âge (durée
maximale prévue à l’origine).
19h Place Pey-Berlan Bordeaux
l'occasion des 30 ans du début
de la catastrophe de Tchernobyl
<hr
Panneaux
solaires à la centrale
nucléaire : un pauvre subterfuge
Nucléaire écolo ? La ficelle est grossière...
Le "greenwashing"
n'est plus ce qu'il était : autrefois habile et efficace (c'est à dire trompeur),
il chausse aujourd'hui les gros sabots pour des opérations ridicules comme
l'installation de panneaux solaires sur le parking de la centrale nucléaire du
Blayais (*)
Ce pauvre subterfuge ne trompe que ceux qui veulent bien y croire, comme les dirigeants
d'EDF, les politiciens locaux et de prétendus environnementalistes.
Il est sidérant que ces gens aient cru pouvoir abuser l'opinion avec un
stratagème aussi grossier, comme si la pose de panneaux solaires allait faire
disparaitre les déchets radioactifs produits par les réacteurs, protéger la
région du risque de catastrophe, filtrer les nombreux produits chimiques et
radioactifs massivement rejetés par la centrale dans la Gironde, etc.
Ce n'est pas avec des ficelles aussi grossières que l'industrie nucléaire
pourra masquer son effondrement : l'action d'EDF à la bourse de Paris a chuté
de 87 à 11 euros, celle d'Areva de 82 à 4 euros, les
chantiers des réacteurs EPR de Flamanville et de Finlande n'en finissent plus
de battre les records de retard et de surcoût, les cuves de réacteurs EPR ont
été ratées par Areva.
La France arrive à une période cruciale de son histoire énergétique : la
majorité des réacteurs nucléaires a dépassé 30 ans, beaucoup approchent de 40
ans, et les prolongations de durée de vie accordées de façon irresponsable par
l'Autorité de sûreté ne font qu'aggraver le risque d'une catastrophe nucléaire.
Or, au lieu de prendre des décisions courageuses et sensées, les
"élites" se contentent de mettre en scène de ridicules et grossières
opérations de poudre aux yeux... qui ne trompent plus personne.
(*) http://www.sudouest.fr/2016/02/02/du-solaire-au-pays-du-nucleaire-2261321-2788.php
Nucléaire, climat, CO2, COP21...
Lire
le document de
l'Observatoire du nucléaire
Soirée
film/débat au cinéma Utopia de Bordeaux
Vendredi 2 octobre 2015 à 20h30
La voiture électrique/nucléaire
est-elle "propre" ou
"écolo" ?
Pollution
: les constructeurs automobiles
ne mentent pas seulement sur le DIESEL
mais aussi sur la VOITURE ÉLECTRIQUE !
Contrairement à ce qui est prétendu par les industriels et leurs amis
politiciens,
la voiture électrique n'est pas plus vertueuse que la voiture thermique car
elle est elle aussi coupable :
- de fortes émissions de CO2 : La Tribune.fr, 4 décembre 2013, http://bit.ly/WELjVz
- de fortes émissions de particules fines : Sc
et Vie, 23/01/2015 : http://bit.ly/1AiCXFX
Communiqué du 25 juin 2015
Évacuations
à la centrale nucléaire du Blayais :
les prémices d'un effondrement industriel
A deux reprises en quelques jours, plus de cent salariés ont été évacués du réacteur 4 de la centrale nucléaire du Blayais. Pour sa part, le réacteur 3 est à l'arrêt depuis près d'un an. Mais c'est en réalité l'ensemble des réacteurs français, et pas seulement ceux du Blayais, qui sont dans un état avancé de dégradation et qui causent des risques de plus en plus élevés.
Précisons d'abord que, contrairement aux déclarations lénifiantes des dirigeants d'EDF, les salariés évacués sont réellement mis en danger par le risque de contamination : l'ingestion ou l'inhalation de particules, même faiblement radioactives, est la quasi certitude de développer un tôt ou tard un cancer, dans 5 ou 10 ou même 20 ans.
Plus généralement, il faut rappeler que la construction en quelques années (fin des années 70 et début des années 80) de plusieurs dizaines de réacteurs a longtemps été présentée comme un "exploit" industriel réalisé par l'industrie atomique hexagonale. En réalité, ce coup de force (imposé sans consultation de la population) revenait à programmer une situation inextricable pour trente à quarante ans plus tard : nous y sommes.
En effet, c'est quasiment en même temps que la quasi-totalité des réacteurs nucléaires français arrivent en fin de vie. Il est - bien heureusement - impossible de les remplacer par de nouveaux réacteurs, tant sur le plan financier (l'argent coulait à flot dans les années 70, ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui) que sur le plan industriel : EDF et Areva échouent à construire un seul réacteur sur leurs chantiers EPR respectifs à Flamanville et en Finlande.
D'autre part, les autorités françaises se sont bien gardées de programmer une alternative énergétique (économies d'énergie, efficacité énergétique, énergies renouvelables, etc). Du coup, la situation est inextricable et seule reste l'option de la fuite en avant : rafistoler les réacteurs tant bien que mal, et à grands frais, pour tenter de les faire durer encore plus longtemps.
Dans l'immédiat, les incidents se multiplient, mettant en danger les salariés et les riverains des centrales. Mais il parait inévitable que cette option se traduise dans les prochaines années (ou bien plus rapidement) par un accident nucléaire grave, voire une catastrophe comparable à celle de Fukushima.
Cette situation inextricable
a été annoncée depuis 40 ans par les antinucléaires mais, aujourd'hui comme
hier, personne ne veut les entendre. Au contraire, l'effet d'annonce ridicule
sur l'hypothétique exportation de réacteurs EPR vers la dictature de
l'Arabie Saoudite est présentée comme une chance voire une perspective de
"renaissance". Pour mémoire, les rares réacteurs exportés (Finlande,
Chine) coûtent de milliards à la France au lieu de lui en rapporter.
L'association Tchernoblaye rappelle sa
revendication de fermeture immédiate et définitive de la centrale nucléaire du
Blayais qui fonctionne depuis 1981 et a donc largement dépassé les 30 ans
prévus par EDF à l'origine.
Samedi
25 avril 2015
à l'occasion des 29 ans du début de la
catastrophe de Tchernobyl.
Tchernoblaye a manifesté à Bordeaux
contre l'industrie
nucléaire et pour la
fermeture de la centrae du Blayais
Cette catastrophe a débuté dans la nuit du 25 au 26 avril 1986... et ne fait pourtant que
commencer : aujourd'hui encore, des millions de gens vivent dans les zones
contaminées...
- Fermeture
immédiate de la centrale du Blayais (34 ans d'âge !)
- Arrêt rapide du nucléaire en France sur
le modèle du Japon
(environ 1 an pour fermer 54 réacteurs, il y en a 58 en France)
Samedi 7 mars 2015 - Fukushima + 4 ans Tchernoblaye a manifesté... à Blaye !
|
Novembre 2014
Drones sur les
centrales : la France
nucléaire est terriblement vulnérable
Samedi 11 octobre 2014
Manifestation à vélo contre les
voitures électriques/nucléaires
Départ
10h depuis Alternatiba
Place Sainte-Croix à Bordeaux
devant l'école de Journalisme
(Retour au même endroit pour participer à Alternatiba)
VENEZ AVEC VOTRE VÉLO !
Les
manifestants visiteront plusieurs stations de rechargement pour les voitures
électriques/nucléaires de la multinationale Bolloré, installées massivement sur
le domaine public avec la complaisance coupable de la ville de Bordeaux et de
la CUB.
Il s'agira de certifier
"pro-nucléaire" les bornes de rechargement (alimentées à 75% par le
nucléaire, et donc ultra-polluantes) et de débrancher les voitures en charge
(acte légal). Précision : il n'y aura bien entendu aucune violence et aucune
dégradation.
A savoir sur le voiture électrique/nucléaire + Tract
Samedi 26 avril 2014 - Tchernobyl + 28 ans
Manifestation à Bordeaux
Départ 12h45 - Place Saint-Projet
Rassemblement 13h30 Gd Théâtre
"Plus jamais Tchernobyl ni Fukushima"
A
noter : Débat à 15h à l'Athénée municipal de Bordeaux
organisé par EELV sur le thème
"Europe et nucléaire"
Mardi 11 mars 2014 - 18h30
Manifestation à Bordeaux :
"Le bruit de
Fukushima"
Départ au pied de la tour Pey-Berland (Tram Hôtel de Ville)
Manifestation de Tchernoblaye devant la centrale
du Blayais
MOX à la centrale nucléaire :
le Blayais sur les traces de Fukushima
Avant
tout, l'association Tchernoblaye rappelle qu'une
centrale nucléaire est quasiment aussi dangereuse et nocive avec ou sans MOX,
ce combustible nucléaire contenant du plutonium. Dans les deux cas, elle peut
dévaster une région entière en cas d'accident, elle produit des déchets
radioactifs qui vont rester dangereux pendant des millions d'années, elle
rejette continuellement dans l'eau et dans l'air des produits et des gaz
radioactifs dangereux pour la nature et les êtres vivants.
Pour
autant, la décision d'EDF d'utiliser du MOX dans les 4 réacteurs de la centrale
du Blayais relève de l'aveuglement et de l'irresponsabilité. Les dirigeants
d'EDF semblent vouloir suivre le dramatique exemple de la centrale de Fukushima
dont un réacteur contenait du MOX (vendu par le français Areva).
Pour mémoire, l'inhalation d'un millionième de gramme de plutonium suffit à
déclencher un cancer.
Par
ailleurs, la situation critique qui s'est produite lors de l'inondation de la
centrale nucléaire du Blayais, pendant la fameuse tempête de décembre 1999,
présente de nombreuses similitudes avec la catastrophe qui a eu lieu à
Fukushima 12 ans plus tard. La chance ne sera probablement pas toujours au
rendez-vous pour suppléer les inévitables défaillances des humains qui
prétendent construire et exploiter des centrales nucléaires "en toute
sûreté".
La
centrale du Blayais a dépassé depuis juin 2011 les 30 ans de durée de vie
prévus à l'origine, mais EDF veut faire fonctionner cette centrale vétuste au
moins 10 ans de plus. Qui plus est, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN),
prétendument "indépendante", est en réalité soumise aux diktats d'EDF.
Il est donc clair que la population de la région, voire de la France et de
l'Europe, est plus que jamais mise en danger par la centrale du Blayais.
Enfin,
il faut rappeler la fameuse "passe d'arme" sur le MOX entre le PS et
EELV dans la préparation des échéances politiques de 2012. L'arrêté ministériel
autorisant EDF à charger en MOX les quatre réacteurs de la centrale du Blayais
démontre parfaitement, si cela était encore nécessaire, que c'est bien le
lobby nucléaire qui dicte sa loi au personnel politique, et ce quelle que soit
la composition du gouvernement.
11 mars 2013 - Fukushima + 2 ans
Avant une autre catastrophe,
fermeture immédiate
de la centrale nucléaire
du Blayais, arrêt en
urgence de l'industrie
nucléaire civile et militaire
Une action a eu lieu samedi 9
mars à Bordeaux avec
Tchernoblaye, Greenpeace, Négajoule,
AC-Gironde
Avec le soutien de :
NPA, Gauche anticapitaliste, EELV
Et la participation de
la Compagnie du mot de la Faim
|
|
Dimanche 14 octobre 2012
Belle manifestation à Bordeaux
pour la fermeture
immédiate de la centrale
nucléaire du Blayais
Cette centrale a dépassé les 30 ans de durée de vie prévus à l'origine par EDF, il n'y a aucune raison qu'elle continue à mettre en danger la population de l'Aquitaine, de la France et de l'Europe...
- Manifestation sur les quais de Bordeaux :
Reportage France3 - Article 1 Sud-Ouest - Article 2 Sud-Ouest - Reportage RadioFrance - Dépêche AFP
- Arrivée des cyclistes à Bordeaux (partis depuis la centrale nucléaire du Blayais) :
Avant la manifestation, une vingtaine de "militants-cyclistes"
ont rappelé la faible distance entre la
centrale du Blayais et les 800 000 habitants de l'agglomération
bordelaise... (Photo Jean-Louis Piquet)
Rappel - Dimanche 11 mars 2012 : Fukushima + 1 an
2000 personnes pour la grande
chaîne
humaine antinucléaire de
Bordeaux !
|
|
Rappel - Lundi 25 avril 2011 - A l'appel de Tchernoblaye :
1500
manifestants devant
la centrale du Blayais ! !
Photos - Vidéo France 3
Presse
: Sud-Ouest - 20minutes - France3
AFP (1) - AFP (2) - Aqui - Charente libre
Centrale du Blayais, 30 ans ça suffit : Tract
Rappel - Samedi 15 octobre 2011 - A l'appel de Tchernoblaye :
1500
manifestants contre
le nucléaire à Bordeaux!
Tchernoblaye - Communiqué du 7 juillet 2012
Centrale nucléaire du Blayais :
la CLIN fait fausse
route !
- Tchernoblaye ne demande pas que la route d'accès à
la centrale soit surélevée
- L'Autorité de sûreté
française aussi rassurante... que la japonaise juste avant Fukushima
A la suite de la publication par le quotidien Sud-Ouest des articles "Désaccord sur la route d'accès à la centrale" (SO 6 juillet) et "La sécurité des centrales dans la région est suffisante" (SO 7 juillet), l'association Tchernoblaye tient à faire connaître son point de vue :
La Commission locale d'information nucléaire (CLIN) demande à ce que la route d'accès à la centrale nucléaire du Blayais soit rehaussée. Cette revendication illustre parfaitement le fait que, pour la CLIN, l'objectif est que cette centrale continue à fonctionner quoi qu'il arrive. Malgré les apparences, la CLIN se révèle donc être un parfait allié pour EDF à qui elle ouvre d'ailleurs systématiquement les colonnes de son journal, Clin d'oeil.
L'association Tchernoblaye, au contraire, rappelle que la voix (et la voie) de la sagesse ne passe pas par un rafistolage de cette vieille centrale ni par la surélévation de la route qui y mène. Les témoignages des travailleurs précaires qui sont envoyés dans les zones les plus irradiantes faire la maintenance de cette centrale montrent que cette dernière est dans un état de plus en plus délabré.
La centrale du Blayais a dépassé depuis juin 2011 les 30 ans de durée de vie prévus à l'origine par EDF, la seule option raisonnable est donc de fermer définitivement cette centrale. Il suffit de se renseigner un peu pour découvrir qu'une région peut fermer "sa" centrale nucléaire et s'en porter très bien : Article du quotidien l'Alsace, « Du nucléaire à la biomasse » : http://bit.ly/NiGOmW
EDF a prévu de gaspiller 600 millions d'euros par réacteur (soit 2,4 milliards au total pour la centrale du Blayais) afin de prolonger tant bien que mal leur activité, et ce sans pour autant améliorer la sûreté (ce qui est de toute façon un objectif impossible à atteindre).
D'autre part, l'Autorité de sûreté nucléaire prétend que la sûreté des centrales du Blayais, de Civaux et de Golfech est "satisfaisante", et met en avant les nombreuses inspections effectuées dans ces centrales : c'est exactement ce que prétendait et faisait l'autorité de sûreté japonaise... juste avant Fukushima : il n'y a donc aucune raison de donner crédit à de telles affirmations.
Qui plus est, les mesures exigées par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) à la suite de la catastrophe de Fukushima, à supposer qu'elles servent réellement à quelque chose, ne seront effectives que dans de longues années.
De toute façon, Fukushima a démontré de façon définitive, si cela était encore nécessaire, que ce tout qui est créé par les hommes, êtres faillibles par nature, a vocation à ne pas fonctionner correctement un jour ou l'autre. Lorsqu'il s'agit d'une centrale nucléaire, les conséquences en sont irréversibles.
Lorsque le Blayais, le Médoc, l'agglomération bordelaise, et plus généralement la France et l'Europe seront aussi gravement contaminés que le Japon depuis mars 2011, il sera trop tard pour se plaindre, pour prendre conscience de la vacuité des propositions de la CLIN et de l'impuissance de l'Autorité de sûreté nucléaire.
10 octobre 2011
Tchernoblaye accuse
l'Education nationale et EDF de
propagande pronucléaire auprès de nombreux élèves
L'association Tchernoblaye proteste contre l'opération de propagande (*) organisée du 12 au 15 octobre à la centrale du Blayais dans le but de promouvoir l'énergie nucléaire auprès de nombreux élèves. Le pire est que l'Education nationale, bafouant à cette occasion ses missions de neutralité et de protection de la jeunesse, va livrer elle-même les élèves à la désinformation insidieuse d'EDF. Une association prétendue "d'Education populaire", les "P'tits débrouillards" va aussi collaborer à cette écœurante opération.
Bien sûr, les activités annoncées ("Electricité statique, comment la voir ? ; Les circuits électriques ; Peut-on faire une pile avec des citrons ? ; etc") peuvent paraître anodines, mais elles seront proposées sur le site de la centrale nucléaire du Blayais et co-organisées par les propagandistes d'EDF. L'énergie nucléaire sera ainsi présentée sous un jour positif ("Les sont activités offertes par la centrale du Blayais") et parfaitement banal, sans que ne soit évoqués les dangers extrêmes et les contaminations dramatiques causées par cette énergie.
Tchernoblaye estime que les élèves du Blayais doivent être informés que, depuis le 11 mars et la début de la catastrophe nucléaire qui frappe le Japon, des milliers d'enfants de la région de Fukushima vont à l'école avec des dosimètres afin de mesurer les irradiations dont ils sont quotidiennement victimes. Les élèves du Blayais doivent savoir que la même chose peut leur arriver et qu'ils sont les premiers menacés par la centrale nucléaire du Blayais.
L'association Tchernoblaye appelle les citoyens à débattre vendredi 14 octobre à 20h30 à l'Athénée municipal de Bordeaux et à manifester - contre le nucléaire et pour la fermeture de la centrale nucléaire du Blayais - samedi 15 octobre (départ 14h devant la mairie de Bordeaux).
(*) http://www.sudouest.fr/2011/10/10/le-cnpe-fete-la-science-avec-les-scolaires-522514-3227.php
A savoir
Les
rejets radioactifs et chimiques
de la centrale nucléaire du Blayais
Rejets radioactifs : voir étude Criirad ICI
Rejets chimiques : voir tableau ci-dessous
Attention :
Ne pas se laisser tromper par les
quantités annuelles autorisées (qui sont gigantesques) :
l'information à retenir est qu'une centrale nucléaire rejette
continuellement dans son
environnement d'immenses quantités de produits chimiques (en plus des
produits radiocatifs)
Rappel :
Fin 2007, Tchernoblaye
portait plainte
contre
le
criminel
Kadhafi et demandait son arrestation
à
l'occasion de sa venue en France : voir ICI
Si cela avait été fait, on aurait évité une "bonne guerre" à l'uranium appauvri...
Sortie du nucléaire : |
Fermeture de la centrale du Blayais |
Communiqué
Eolien : l'Espagne bat des records
... et l'Aquitaine reste à zéro !
L'association antinucléaire Tchernoblaye se félicite des performances exceptionnelles
des éoliennes en Espagne qui, le week-end dernier, ont dépassé par moment 50%
de la production nationale d'électricité. Tchernoblaye
fustige d'autant plus la dramatique faiblesse de la Région Aquitaine, une des
dernières en France à afficher... zéro éolienne !
Les performances de l'Espagne sont en augmentation continuelle et la question
de l'intermittence de la production éolienne est en passe d'être réglée : dans
les périodes de fort vent, une partie de l'électricité sert à
"turbiner" de l'eau dans des bassins de retenue en altitude, qui
permettent une production électrique lorsque le vent ne souffle pas.
Pendant que l'Espagne prouve qu'il est possible de produire une électricité
propre, permettant à la fois de lutter contre le changement climatique et de se
passer du nucléaire (le gouvernement Zapatero a décider
de fermer les centrales nucléaires espagnoles l'une après l'autre et de ne pas
en construire de nouvelles), la région Aquitaine, pourtant aux premières loges
pour s'inspirer des performances espagnoles, présente toujours une production
éolienne égale à zéro.
Il apparait clairement que M Rousset préfère soutenir le lobby nucléaire (avec
le laser mégajoule, dont le but est de mettre au point une nouvelle génération
de bombes atomiques) et le lobby routier (avec le
construction insensée de l'autoroute Langon-Pau) et se contente de belle
paroles concernant les énergies renouvelables.
Il faut d'ailleurs noter que le soutien de M Rousset aux industriels de la
voiture électrique se fait sans programme associé de développement des énergies
renouvelables, ce qui signifie clairement que, pour M Rousset, les batteries
des voitures électriques doivent être rechargées avec l'électricité nucléaire,
une des plus polluantes qui soit.
Action de Tchernoblaye lors
de la cérémonie
de M. Rousset devant le Conseil Régional
- Tchernoblaye clame "Ni nucléaire, ni
effet de serre"
- M Rousset a attribué une subvention à l'industrie nucléaire
L'association Tchernoblaye a décidé de s'inviter à la cérémonie organisée
lundi 19 octobre à 10h par M Rousset sur le parvis de Conseil régional
d'Aquitaine. A cette occasion, M Rousset, a lancé un compte à rebours annonçant
le sommet de Copenhague sur le changement climatique.
Combattre le changement climatique est une bonne chose, mais M. Rousset fait partie des
irresponsables qui prétendent "sauver" la planète avec le nucléaire.
D'ailleurs, Tchernoblaye rappelle que M Rousset a
attribué en juillet dernier une subvention de 155 833 euros à
l'entreprise SEIV (filiale du groupe ALCEN). Il s'agit de financer un programme
visant à élaborer des éléments pour les réacteurs nucléaires en collaboration
avec le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et Areva.
(cf rappel ci-dessous)
Par ailleurs, M Rousset reste un fervent soutien du CEA et de son Laser
Mégajoule dont l'objet principal reste de mettre au point une nouvelle
génération de bombes atomiques. Ce chantier gigantesque, en cours au Barp
(Gironde), connait d'importants retards et de lourds surcoûts. Il engloutit des
sommes publiques gigantesques qui auraient été très efficaces si elles avaient
été investies dans les économies d'énergie et les énergies renouvelables.
Tchernoblaye fait donc légitimement entendre le point
de vue "Ni
nucléaire, ni effet de serre".
Bordeaux
Vendredi 24 avril 2009 - 20h15
Athénée Municipal (Place St-Christoly)
Conférence avec le
Pr Youri Bandajevsky
"Tchernobyl et ses conséquences, 23 ans
après"
Le Pr. Bandajevsky
: 6 ans de prison en Biélorussie pour
avoir dit la vérité sur les
conséquences de Tchernobyl
Informations sur le Pr. Bandajevsky : ICI
Bordeaux : oui à la voiture
électrique...
si elle est rechargée
aux renouvelables !
L'association Tchernoblaye fait part de son intérêt (mesuré) pour un parc de voitures électriques... à condition qu'elles soient rechargées par des énergies renouvelables et non par le nucléaire. Suite aux annonces du maire de Bordeaux, Tchernoblaye cite en exemple la ville de Clermont-Ferrand qui développe depuis quelques années un parc de véhicules électriques rechargés à l'énergie solaire...
Tchernoblaye - Communiqué du 23
avril 2008
Centrale nucléaire du Blayais :
Graves disfonctionnements dans
la protection contre les incendies
Affaire de la centrale nucléaire illégale
|
|
Voir le résumé de l'affaire Quatre ans après le grave délit (fonctionnement sans autorisations de rejets : délit puni de deux ans de prison) commis par la centrale nucléaire du Blayais, le Parquet de Bordeaux n'a pas encore trouvé le temps de s'occuper de la plainte déposée par l'association Tchernoblaye. Par contre, il n'a fallu que quelques jours pour que les militants, qui protestaient justement (et pacifiquement) contre l'absence de poursuites contre la centrale nucléaire, ne soient poursuivis. Pour être montés sur un échafaudage dans la cour du Palais de justice de Bordeaux, deux militants antinucléaires ont été condamnés en première instance. Mais le Parquet de Bordeaux veut des sanctions plus lourdes et a fait appel ! |
|
Le 13 juin, l'avocat général a demandé de la prison (avec sursis tout de même : quelle indulgence !) suite à une action militante pourtant totalement pacifique ! Le verdict a été annoncé le mercredi 19 septembre 2007 ; deux mois de prison (avec sursis tout de même : faut-il dire merci ?). Et dire qu'on appelle ça la "justice"... De toute évidence, le Parquet de Bordeaux protège les puissants et sanctionne les citoyens qui réclamment... justice !
|
José Bové et Noël Mamère présents pour soutenir Tchernoblaye
21 mars 2007 - Noël Mamère,
Stéphane Lhomme, José Bové
19 novembre 2006 - Communiqué
de Tchernoblaye
Décès brutal de notre avocat
et ami Maître Philippe Reulet
Les membres de
l'association antinucléaire Tchernoblaye font part
de leur plus vive émotion à l'annonce du décès dimanche 19 novembre 2006
de leur avocat Me
Philippe Reulet. Ce dernier était
encore venu à leur rencontre, la semaine dernière à Bordeaux, pour préparer
la défense de deux militants poursuivis en justice. |
|
L'autre affaire en cours :
Que fait le Sous-Préfet
du Bassin d'Arcachon ?
Le 22 juin 2005, la CLI (Commission locale d'information) auprès du CEA-CESTA,
présidée par le Sous-Préfet du Bassin
d'Arcachon, a décidé, sur proposition de
3 associations dont Tchernoblaye, de faire réaliser
une expertise indépendante des 2
sites nucléaires du CEA-CESTA au Barp (33) et à Saugnac
(40/33). Depuis, plus rien...
Tchernoblaye a écrit au Sous-Préfet
Le réacteur EPR ne résistera |
TCHERNO-ARCHIVES : Cliquer ICI
Jeudi
15 juin 2006
"Confidentiel
défense"
Mardi
25 avril 2006
20 ans de
Tchernobyl
Dimanche
7 novembre 2005
Hommage à
Sébastien Briat
Mardi
11 octobre 2005
Désintégration...
de l'argent public
6 aout 2005 - 60
ans d'Hiroshima
Festival
ANTI-Atomique au Barp
Mai 2005
Tchernoblaye et la constitution européenne
Mars-Avril
2005
Contaminations
au Barp et à Saugnac-et-Muret
Mardi 28 décembre 2004
Il
y a 5 ans : inondation au Blayais
6
décembre 2004 - Simulation d'accident nucléaire :
Les grands
crus du Médoc contaminés !
10
septembre 2004 : Scandale au lycée de Blaye :
Non au
"bac pro nucléaire"
Actu : cliquer ICI
Un
document exceptionnel :
|
Le
plutonium américain est
|
Un
an après Tchernoblaye, |
Camions nucléaires : lorsque la
mort
traverse les villages de Gironde...
Trains nucléaires - Les déchets radioactifs de la centrale nucléaire du Blayais passent au coeur de Bordeaux. Voir le Dossier
29 sept 2003 - 18h56 |
Lundi 29 septembre 2003 : un militant de Tchernoblaye bloque un wagon de déchets nucléaires au coeur de Bordeaux. La SNCF porte plainte. Lundi 27 octobre 2003 : Stéphane Lhomme est convoqué par le procureur de la République. Son compteur Geiger a subi une "destruction administrative" ! La Criirad lui offre un compteur de rechange. Voir ici : Quartex ; Jeudi 18 décembre 2003 : sur les 27 maires de la Communauté urbaine de Bordeaux, sollicités par Tchernoblaye, seul Noël Mamère, maire de Bègles, signe un arrêté interdisant les convois nucléaires sur sa commune. Lundi 5 janvier 2004 : Tchernoblaye dépose à la préfecture 2012 signatures contre le passage des trains nucléaires dans l'agglomération bordelaise. Mardi 6 janvier 2004 : le Préfet de la Gironde, roue de secours des trains du lobby nucléaire, fait annuler au Tribunal administratif l'arrêté du Maire de Bègles. |
Reportage photo :
la pêche radioactive !
Dimanche 12 octobre 2003
Compte
rendu et photos
Rassemblement
devant la
centrale nucléaire du
Blayais
Janvier 2003 : Marée noire
Les
mesures annoncées par la centrale
nucléaire
du Blayais n'étaient que du bluff !
3 novembre 2002
Onze centrales nucléaires dont celle
du Blayais
hors-normes face au risque sismique !
18 octobre 2002
Résultats de l'expertise de radioactivité
de la centrale du
Blayais par la Crii-rad
Les enfant victimes du lobby nucléaire
Exposition pronucléaire à Cap-Sciences
Accueil d'enfants de Tchernobyl :
attention à la désinformation !
Catastrophe nucléaire au Blayais ?
Avalanche d'incidents au Blayais !
TchernoBlaye et la commission parlementaire.
Distributions de pastilles d'iode : une mascarade !
Information sur la catastrophe nucléaire :
La Commission Européenne accuse la France
L'Autorité de Sûreté manque
singulièrement...d'autorité !
Quand TchernoBlaye trouve un scoop...
La centrale du Blayais
mise en |
Une information rendue publique... |
Esturiales 27-28/10/2000 - Bordeaux
Incroyable scoop révélépar TchernoBlaye :
Il y a une centrale nucléaire
dans le Blayais !
Très près de la catastrophe nucléaire :
l'inondation de la
centrale le 27-12-1999
Sans autorisation,
l'eau de la Gironde pénètre
dans la
centrale nucléaire du Blayais
La grande manifestation du 23 avril 2000
Pari gagné, mais les gendarmes
mobiles
agressent délibérément
les
manifestants pacifiques !
TchernoBlaye
Naissance 17
jours AVANT l'inondation
de la centrale en décembre 1999
TchernoBlaye aime Blaye...
...mais le maire de
Blaye
n'aime pas TchernoBlaye :
Aidez Tchernoblaye : chèques à l'ordre de Tchernoblaye
à envoyer à :
TchernoBlaye, C/° Cinéma Utopia,
5 pl. Camille Jullian, 33000 Bordeaux
Contact téléphonique de Tchernoblaye : 06.64.10.03.33